PETITE ENCYCLOPÉDIE DES PUITS
préambule
cette «petite» encyclopédie n’est pas exhaustive! donc incomplète, je prie mes lecteurs de ne pas êtres d’accord avec ce que j’avance , j’accepte avec plaisir toutes les contradictions et même les critiques , du moment que l’on reste dans le ton amical.
encyclopédie des puits forés
L’EAU D’ICI, et l’ EAU DE LA,
ou
COMMENT SONT DETRUITES LES NAPPES PHRÉATIQUES
DE VOS PUITS?
(puits tu es mon ami , au fond de mon jardin je t’oublie , pourtant tu me donnes la vie .)
il était une fois l’eau ,
l’eau et l’homme sont étroitement liés , l’équation est simple, pas d’eau=pas d’hommes,
dans cette quête de l’eau, je ne chercherai a convaincre personne,
pourquoi?
comment convaincre actuellement des gens intelligents sur la nécessité de la préservation de ce précieux, et vital liquide? Impossible!
Seuls quelques idiots, stupides, et autres imbéciles continuent inlassablement leurs tristes chemins de destruction,
l’eau a ce titre est un bien, certes! mais plus un «bien» (comme on disait) de la Nation, mais bien un bien de l’Humanité,
sachez que sur toute l’eau réunie de la planète terre, (toutes eaux confondues) , il ne reste plus que deux malheureux % d’eau potable, il est donc vainc et aléatoire de vous inciter a la protéger,
l’eau et l’homme sont liés, vous disais-je, voyez vous même, pas encore arrivé au pays vous pensez déjà a l’eau d’un puits, c’est de cela que je vais vous parler, l’eau de vos puits ne vient pas exactement du satellite Lune, mais provient bien de nappes phréatiques qui passent en nappes sous le sable de vos jardins ,et vont se jeter en forme de delta en des multiples résurgences au Bassin.,
les deux grands courants sont ceux des Pyrénées sud nord (comme la leyre) ces multiples courant viennent ce jeter dans l’océan, et sous le Bassin en une multitude de résurgences.
l’autre courant provient du massif central, et aussi doucement ce courant vient ce jeter en delta pareillement que celui des Pyrénées dans le Bassin et l’océan,
autrefois l’eau «dites dans les robinets» n’existait pas, il fallut faire des puits, (pour pouvoir la pomper et sans servir familialement ) mais pas n’importe quels puits, des puits a l’eau potable, aucun intérêt évidemment de faire un mauvais puits, alors on faisait appel a une vielle corporation de puisatiers traditionnels, chacun comme il se doit avait ces secrets (bien gardés) mais le résultat était strictement identique l’eau était potable,
vers 1960 l’eau miraculeusement est arrivée aux robinets, ouf, plus besoin de puits, (nous commencions sans le savoir a vivre doucement mais sûrement , notre commencement de la fin),
petit a petit l’eau est devenue plus chère, les pelouses des «étrangers» ont remplacés les jardins potagers des vieux habitants, il fallut arroser de plus en plus,
alors que fit on? Dans les années 70 Eh bien on fit n’importe quoi,
les gens instruits venant d’ailleurs, avec leurs sciences infusent , persuadés a tort qu il y avait de l’eau partout firent des forages a tort et a travers, n ‘importe ou, et complètement au hasard , la région devint un gruyère a trou d’eau ,un forage pour arroser était le mot d’ordre, que pouvait ton faire devant cette invasion et marée humaine, ben rien! les Mairies furent complètement dépassées, le laxisme gagna. Et le calvaire de l’eau commença dans l’indifférence quasi générale.
peu importe la qualité, il fallait a tout prix de l’eau, comme les puisatiers traditionnels avaient disparu des foreurs occasionnel firent surface, et creusèrent a qui mieux mieux n’importe ou et n’importe comment , n’ayant aucune espèce d’idée des dégâts (pratiquement irréversibles) qu’ils occasionnaient, cette inconscience catastrophique dura quand même prés de quarante années, il y eu des voix pour s’opposer a ce massacre, ( dont la mienne), on nous crachat dessus, et nous furent clouer au piloris, alors des lois ont étés votées , elles furent bafouées,
petit a petit l’effet contraire arriva doucement,comme un boomerang aborigène, le conscience revint peu a peu, après les folies passées des années 70/2014,
que c’est il passé? sans le savoir sans aucune connaissance hydrologique on fit pendant plus de quarante années des forages scélérats, on fit ce que la loi interdit formellement on mélangeait ignominieusement les nappes entres elles,comment me direz vous? mais en mettant excessivement trop de crépines non adaptées,
explication: autrefois un puisatier traditionnel fabriquait sa crépine en fonction de l’épaisseur de la nappe du passage de la bonne eau (qu il savait par expérience déterminer) et prenait bien soin de mettre cette crépine artisanale en plein milieu du passage ou passait la bonne eau , ce que ne savait pas faire du tout les foreurs (non puisatiers).
eux (ne sachant pas ou ils étaient) ils ratissaient large en mettant un maximum de crépines, ils se disaient dans leur innocence , que plus il y a de crépine plus il y aurait de l’eau, ce qui est parfaitement faux (mais la rumeur est tenace) disons que pour faire court, ou il fallait 50cm de crépine, certain mettaient 4 mètres et voire même plus, parlons des conséquences des ces mauvais forages , les nappes phréatiques ont mis des centaines de milliers d’années pour faire leurs chemins,et on arrive là sans rien savoir, sans pratiquement aucunes connaissances avec aux pieds des gros sabots, et on perce totalement au hasard, et on détruit allègrement sans scrupules (comme on ne voit rien, de la surface ,on n’évalue pas forcement les dégâts) une veine d’eau , vielles «disons» de 100 milles ans,
alors résultat les pollutions commencent ,
déjà dans le sillage, mais parlons de ce fameux sillage (j’ouvre une grande parenthèse pour expliquer ce phénomène ) comment vous faire une comparaison pour bien comprendre ce phénomène complexe, tenez prenos comme exemple une seringue hypodermique dont l’aiguille traverserait de part en part une veine importante , on aspirerait donc avec une aiguille «crépine» d’une part, du sang oui! Mais aussi du sérum physiologique, d’autre part , l’exemple n’est pas terrible certes! mais cela y ressemble beaucoup
alors que faire? il faut jouer sur la taille de la crépine (les anciens le faisaient en faisant les crépines en cuivres ) donc plus la crépine est courte moins elle crée le phénomène de sillage,( nous y voilà dans ce fameux sillage) ,ce sillage qui est formé a la suite de la crépine, (observez le sillage d’un piquet dans un courant d’eau ) l’angle est en gros de 39° bien sur comme on ne voit rien de la surface , on ne pense pas a ce qui se passe dans les profondeurs, moralité moins on perturbe artificiellement une nappes plus on gagne en qualité, je suis très conscient que mes explications semblent pour certains tirer par les cheveux, mais comment transmettre ou inculquer en quelques explication hautement technique prés de 60 année d’expériences?
A savoir!
Quand vous avez un forage qui perturbe on peut perturber le puits de son voisin qui est est dans le même sillage ou dans les 39° ( si ce voisin a mis l’eau de son puits a sa maison, vous allez voir sa réaction ,qui risque légitiment de devenir violente) ensuite survient un phénomène assez mal connu qui ce nomme la transmisivité, explication, par effet de la gravité universelle les eaux perturbées et polluées vont «naturellement» perturber les nappes phréatiques qui servent souvent aux eaux de la ville (celles que vous êtes sensé boire) on a voulu ignore longtemps ce phénomène, et on tente encore de vouloir l’ignorer, ou de l’occulter c’est selon, mais voilà force est de constater que les eaux de «ville» ne vont pas très bien, même assez mal, et voire très mal, (mais vous avez le droit de dire le contraire),
l’eau augmente pourquoi? Par manque d’eau?pour moi non!
Elle augmente car la filtration chimique et bactériologique est de plus en plus importants donc chère, l’eau naturelle de source ne serait plus bonne? Pour moi oui, elle elle est toujours correcte,
alors que ce passe t’ il, tout simplement nous détruisons nos bonnes eaux souterraine par bêtises et stupidité, alors cela se paye en argent et en santé,
voyez vous même , chaque maison de la région a un forages (ou presque) ,pour moi 80% ne sont pas «bon» faites un simple calcul du nombre de forages de la région ,c’est effarent, de voir a quel stade nous en sommes de pollutions , alors que l’on peut encore inverser la vapeur, vous qui me lisez venez me rejoindre, vous les ELUS les MAIRES , AYEZ UN SURSAUT , conseillez a vos administrés de prendre contact avec l’association LES AMIS DES PUITS, ça ne vous coûte rien, nos interventions sont totalement gratuites, même la recherche de l’eau,par un sourcier. (débit et profondeur) est gratuit .
nous formons gratuitement pour la protection des nappes phréatique, des volontaires pour apprendre la théorie des puisatiers traditionnels d’antan,
ET SACHEZ aussi qu’un puits traditionnel (qui lui ne pollue pas) ne coûte pas plus cher (souvent moins) qu’un forage hasardeux, SAUVONS ENSEMBLE ce qui reste a sauver ne notre patrimoine EAU, je pense que j’ai été assez clair dans mes explications techniques , mais je suis prêt a dialoguer avec ceux qui désire me poser des questions, SOYEZ des gens CURIEUX….. vous les habitants,…. vous les ELUS, ….vous les MAIRES.
Isidore,plantey@gmail,com
SITE
LES AMIS DES PUITS
http://www.bassindarcachon.com/pro/amis_des_puits/eau.htm
PS
n’oubliez pas les trois principes de bases des lois incontournables
qui sont .
interdiction des mélanges des nappes.
protection de la tête de puits.
obligation d’un compteur d’eau.
http://www.bassindarcachon.com/pro/amis_des_puits/eau.htm
PS: pour les curieux , les courageux, les jusqu’au-boutiste, ceux qui veulent savoir le pourquoi du comment, je vais vous livrer un complément d’enquête
l’explication de ce qui va suivre concerne plus ou moins,tous les forages de la planète, il y a un phénomène que l’on subit souvent dans certain forage, (mais que peu de gens ont réussit a élucider), c’est le phénomène du colmatage du forage (par bouchage progressif des crépines), qui doucement survient au fil des mois et parfois (suivant la consistance du sous-sol) des années, que se passe t’il ?
Ires souvent le nombre des crépine est excessif, car certain foreurs ont tendance a « ratisser » large pour augmenter d’après eux le volume de l’eau, (une loi naturelle est simple on pourra mettre des km de crépine, mais on ne prendra jamais plus d’eau qu’il ne passe dans le sous sol, mais on a le droit me dire le contraire ) alors deux choses sont possibles , les crépines sont correctement placées donc pas de problème, tout va pour le mieux
autre cas ,les crépines trop nombreuses dépassent largement le haut et le bas du passage de la nappe (qui comme on le sait a une épaisseur donnée) que ce passe t’il suivant la nature du sous-sol il y a des couches d’argiles en formation
voila ce que dit Wikipédia a ce sujet
Historiquement, en géologie et science du sol, le terme argile correspond à l’ensemble des minéraux présentant une taille inférieure à 2 µm dans une roche. Cette coupure granulométrique est héritée des études pétrographiques effectuées par microscopie optique à la fin du xixHYPERLINK « https://fr.wikipedia.org/wiki/XIXe_siècle »e siècle. Les cristaux présentant alors une taille inférieure à 2 µm n’étaient pas reconnaissables et classés sous l’appellation argile2. Aujourd’hui, l’appellation argile diffère en fonction des domaines d’étude. Ainsi, en géotechnique, où l’on s’intéresse avant tout au comportement mécanique des sols, on désigne par argile les matériaux de granulométrie inférieure à 4 µm (entre 4 et 50 µm, on parle de limon). En science des argiles, l’argile ne correspond pas à une coupure granulométrique, mais à des minéraux. Le terme est alors utilisé pour décrire les phyllosilicates et plus particulièrement les minéraux argileux.
Ces derniers sont classés en trois grandes familles selon l’épaisseur des feuillets (0,7; 1.0 ou1,4 nm), qui correspondent à un nombre de couches d’oxydes tétraédriques (Si) et octaédriques (Al, Ni, Mg, Fe2+, Fe3+, Mn, Na, K, etc.). L’interstice entre feuillets peut contenir de l’eau ainsi que des ions. Il en résulte des variations de la distance entre feuillets, et donc des variations dimensionnelles macroscopiques de l’argile quand elle s’hydrate (dilatation) ou s’assèche (contraction) pouvant provoquer des fissures. Un matériau sec qui contient beaucoup de minéraux argileux «happe à la langue» (absorbe de l’eau en formant une pâte plastique).
Vous ne trouvez pas ces matières fines dans le milieux de la nappes, mais dessus, et dessous oui!
Insidieusement, sournoisement, et petit a petit cette pâte «ultra»fine se dépose dans la crépine et monte doucement , et elle fini par ensevelir complètement la pompe immergée, alors manquant d’eau «asphyxiée» la pompe cavite et forcément chauffe et souvent carrément grille . On trouve très souvent ce phénomène dans les forages pratiqués dans le haut des dunes, comme a partir de lège cap Ferret, jusqu’à la pointe du ferret,
bien sur on peut m’objecter que je me trompe, mais alors pourquoi on a sorti avec beaucoup de difficultés des pompes immergée des tubes de forages, complètement engloutie dans une gangue de boue liquide d’argile blanche ou grise?