Quelles différences entre un puits foré conforme à la loi et un forage « hasardeux » ?
(Spécial Bassin d’Arcachon)
LE SAVIEZ-VOUS ?
ISIDORE – SOURCIER & PUISATIER
(En gros, un puits… c’est cela !)
Bonjour mes amis,
Sous le thème :
« ON N’A PLUS LE DROIT DE FAIRE N’IMPORTE QUOI ! »
Je vous invite à lire ce qui suit.
Nous vous répondons ici à titre totalement bénévole.
Une déontologie claire
L’association Les Amis des Puits s’engage avec une éthique forte :
- Aucun chiffre d’affaires à réaliser
- Aucune spéculation
- Des puits réalisés selon la méthode ancienne, traditionnelle et légale
Notre seul but ?
🌊 La sauvegarde et la protection de notre bien le plus précieux : l’eau souterraine.
Depuis les années 50/60, tout a changé…
Avec l’arrivée des châteaux d’eau, les puisatiers ont peu à peu disparu.
À leur place ? Des foreurs occasionnels, qui pullulent… et souvent mal.
Résultat :
- Prolifération de forages hasardeux
- Usage de matériaux inadaptés (fer notamment), destructeurs pour la nappe
- Aucune conscience du sous-sol, ni du comportement de l’eau
Une mise au point s’impose !
On me reproche parfois un ton agressif ou moraliste…
Mais mes amis, ce ton devrait aussi être le vôtre.
Je ne cherche pas à plaire,
je cherche à dire les vérités qui dérangent, pour le bien commun.
Cela fait plus de 60 ans que je me bats pour protéger l’eau douce potable.
Et j’ai choisi :
➡️ Une méthode associative, solidaire, conforme à la loi.
L’art du puits, pas le commerce du trou
Ceux qui m’accusent d’être trop pointilleux feraient mieux de dénoncer :
- Les voyous du forage, qui ruinent nos nappes pour un billet
- Les bricoleurs du dimanche, qui forent à l’aveugle
Nous, nous ne vendons pas un vulgaire trou au fond d’un jardin.
Nous créons.
Et cette création est un acte d’art et de respect du vivant.
Un échange moral
Les puisatiers bénévoles des Amis des Puits reçoivent parfois une contribution juste et raisonnable en échange de leur travail.
C’est un échange moral, pas un tarif de commerçant.
Et nos 7 000 adhérents vous le diront :
Quand l’argent est donné avec le cœur, il ne fait jamais regret.
L’eau douce ne représente que 0,2 % de l’eau de la planète
Et pourtant, nous la gaspillons.
Nous la forons n’importe comment.
Mais les consciences s’éveillent enfin. Il était temps.
Oui, je suis un fieffé moraliste… et j’en suis fier !
Se battre pour soi, c’est une chose.
Mais se battre contre les voyous du forage sauvage,
c’est une mission.
Alors oui, je continuerai d’avoir un mauvais esprit critique et moralisateur,
s’il faut cela pour protéger l’eau et les générations futures.
Rejoignez-nous
Je vous remercie de vous joindre à moi, de plus en plus nombreux,
sur mon site amis-des-puits.fr – actuellement consulté entre 300 et 400 fois par semaine.
Votre confiance me touche.
Mais je vous encourage à dépasser cette simple confiance en vous forgeant une opinion éclairée.
Ne confondez plus jamais un puits traditionnel et un forage hasardeux.
L’un fait vivre ; l’autre, trop souvent, empoisonne.
Puits privés : droits et devoirs
La loi française autorise chacun à prélever de l’eau sur son propre terrain.
Oui, c’est un droit.
Mais comme tout droit en démocratie, il ne s’exerce pas n’importe comment.
Et surtout pas par n’importe qui.
Un forage mal réalisé, c’est comme creuser au hasard dans un mur porteur :
On ne voit pas tout de suite les dégâts, mais tôt ou tard…
ça fissure, ça s’affaisse, ou ça contamine.
Une logique à comprendre
Réaliser un forage hasardeux chez vous peut déséquilibrer le puits traditionnel de votre voisin situé plus bas.
À l’inverse, un forage hasardeux chez votre voisin du dessus peut perturber votre propre puits.
C’est un cercle vicieux souterrain.
On scie, sans le savoir, la branche sur laquelle on boit.
Avant-propos
Nous allons, semble-t-il, vers des années difficiles.
Le climat devient brutal. L’eau deviendra rare, chère, et donc précieuse.
Posséder un bon puits, c’est s’assurer une indépendance vitale.
Un jour – et ce n’est pas de la science-fiction –
l’eau ne coulera plus au robinet.
Une vérité trop oubliée
Voici la différence essentielle entre :
- Le puisatier traditionnel
- Et le foreur occasionnel
Ce n’est pas un détail technique.
C’est tout un monde de connaissances anciennes, de bon sens, de respect du vivant.
Le foreur
Il arrive avec sa machine, fore droit.
Il pompe sans savoir, détruit parfois sans voir.
Si l’eau n’est pas au rendez-vous, il accuse le sourcier.
Et parfois, il ose dire : « Il n’y avait rien. »
Le puisatier
C’est l’artisan maître de l’eau.
Il lit les strates. Il mesure la veine. Il adapte la crépine au millimètre.
Il ne force pas. Il épouse la veine.
Il sait que la pompe ne doit jamais dépasser les 2/3 du débit.
Sinon, l’équilibre se rompt. L’eau pourrie de la nappe monte.
Il le sait, parce qu’il l’a vécu. Parce qu’il a appris à la main.
Des forces en équilibre : la beauté discrète des veines
L’eau ne coule pas dans une veine.
Elle se transmet par pression. Elle a sa densité, sa vitesse, son chemin.
Une veine est enfermée dans une gaine invisible, maintenue par la pression de la nappe.
Et pourtant, beaucoup affirment sans honte :
« Les veines n’existent pas. »
Quelle erreur…
Il suffit d’un seau, d’une corde, et de patience pour voir que ces veines existent.
Elles viennent des montagnes, façonnées par le temps et les pressions naturelles.
Pourquoi les anciens faisaient-ils des puits larges à margelle ?
Parce qu’ils savaient.
Un puits à faible débit ?
➡️ On élargit, pour donner à l’eau le temps de monter.
➡️ On pose une crépine large et bien installée.
➡️ On respecte le rythme de la veine.
Aujourd’hui ?
Un tuyau de 15 cm, et on croit que ça suffit.
Mais l’eau n’obéit pas aux modes.
Elle suit ses propres lois.
Conclusion : redevenir modestes face à l’eau
Nous avons cru pouvoir dominer l’eau.
La capter sans comprendre.
La forer sans respecter.
Mais l’eau se mérite.
Elle demande :
- Écoute
- Patience
- Humilité
Elle demande aussi des professionnels formés, passionnés, respectueux du vivant.
Puisatier, c’est un métier.
Sourcier aussi.
Foreur ? Oui, à condition qu’il soit humble, et qu’il travaille en équipe.
Remettons à l’honneur le puits traditionnel, à margelle, bâti à la main, captant des veines vivantes.
Redonnons à l’eau sa juste place.
Et surtout, n’oublions jamais :
Un puits bien fait, c’est un village qui vit.
Un forage hasardeux, c’est parfois un procès qui commence.
INFORMATION AUX HABITANTS DES COMMUNES D’ANDERNOS, DE LANTON, DU TEMPLE, DE LÈGE-CAP-FERRET, DU PORGE, D’ARÈS, LESPARRE, SANGUINET, ARCACHON, etc. CAMPAGNE POUR LE SAUVETAGE ET LA PROTECTION DES EAUX SOUTERRAINES DE NOS COMMUNES SAUVETAGE ET PROTECTION DES EAUX POTABLES ET SOUTERRAINES DES PUITS CRÉÉS CONFORMÉMENT AUX LOIS Dans le cadre de la protection et de la sauvegarde des bonnes veines souterraines (venant du Massif Central et des Pyrénées), la Mairie d’Arès informe ses habitants de faire preuve de vigilance lors de la création de nouveaux forages. Un forage est considéré comme hasardeux lorsqu’il ne répond pas aux normes de création traditionnelles, basées sur la méthode ancestrale de réalisation des puits, et conforme à la législation en vigueur. Après autorisation de la Mairie, il est possible de créer un forage ne dépassant pas dix mètres de profondeur pour obtenir de l’eau. Mais un forage est considéré hasardeux lorsqu’il est créé au hasard, sous prétexte qu’il y a de l’eau partout. Un forage est toujours réalisé dans la nappe phréatique (bouillon de culture), alors qu’un puits est creusé dans une veine, qui traverse la nappe sans s’y mêler. Les forages hasardeux, souvent réalisés par des particuliers ou des clandestins, mélangent les nappes et perturbent les puits sains — une action strictement interdite par la loi. Les puits conformes aux lois sont réalisés par des puisatiers expérimentés, aidés au préalable par un sourcier qui détermine le passage de la veine. Le puisatier descend dans la veine, mesure son épaisseur, taille la crépine en fonction, la place au centre exact de la veine, mesure le débit, et installe une pompe qui n’aspire que les deux tiers du débit, garantissant ainsi 98 % d’eau de qualité. Cette eau, après analyses, peut être légalement utilisée dans la maison et même pour la piscine. La Mairie invite donc les habitants à se rapprocher de l’Association LES AMIS DES PUITS, qui fournit gratuitement toutes les informations relatives à la création de puits selon la méthode ancienne et traditionnelle, dans le respect des lois. ASSOCIATION LES AMIS DES PUITS (7 000 adhérents) Isidore, sourcier/puisatier 71, allée de la Pinède – 33740 Arès 06 60 20 06 99 / 05 56 60 00 65 https://amis-des-puits.fr/ ATTENTION AUX FOREURS CLANDESTINS, AUX OCCASIONNELS, AUX MALINS DE TOUTES SORTES, ET MÊME À CERTAINS VOISINS… Soyez méfiants et circonspects envers tous ceux qui se disent compétents, y compris certains « plombiers » ou prétendus experts. Parmi eux, se glissent souvent des voyous foreurs, qui font honte à la profession. Qui sont-ils ? Que font-ils ? Ils sont souvent locaux, jeunes ou moins jeunes, chasseurs de pigeons. Leur gibier, c’est vous, les nouveaux arrivants qui cherchez à vous installer. À la moindre rumeur d’eau souterraine, ils surgissent pour creuser un trou n’importe où, sans aucune étude préalable. Leur mentalité est simple : faire du fric, peu importe les conséquences. Ils forent à l’aveugle, généralement dans la nappe phréatique, avec un matériel hétéroclite. Ils multiplient les crépines commerciales, mal adaptées, croyant que plus il y en a, plus il y aura d’eau (ce qui est faux). L’eau qu’ils tirent est souvent mauvaise : ferrugineuse, bactérienne, inutilisable même pour l’arrosage. Avec le temps, ces clandestins disparaissent dans la foule et changent souvent d’activité, nuisant à la réputation des artisans sérieux. Si votre puits se bouche ou s’assèche, il faudra souvent tout refaire, ce qui double les dépenses. Mais leur « forage » bon marché contribue à la dégradation de nos nappes et à la pollution des veines naturelles. LE PUISATIER TRADITIONNEL, L’AMI DE LA FAMILLE ET DE L’EAU SAINE Le puisatier traditionnel, lui, a une déontologie rigoureuse. Son but : rechercher la meilleure eau possible. Il fabrique artisanalement sa crépine, l’ajuste précisément au passage de la veine, et veille à ne jamais nuire aux ressources. Il reste l’ami de la famille, conseille, accompagne et suit son puits comme un enfant. Il faut se demander s’il existe encore des veines non polluées ? Oui, bien sûr, mais il appartient à chacun de les protéger. Parlez-en autour de vous, incitez vos voisins à s’informer auprès de l’association. Notre taux de réussite est de 98 % en eau saine, bien supérieur à celui des forages hasardeux qui ruinent notre environnement. À force de refaire des puits comme autrefois, nous remettrons petit à petit les veines en ordre dans la région. L’eau potable est un bien naturel de la nation, à protéger par tous. Moins de 1 % d’eau, et l’on a soif ; à moins de 10 %, c’est le coma ; à 12 %, c’est la mort. Nous avons du mal à vivre 70 heures sans boire, tandis que des centaines de millions n’ont pas accès à l’eau potable. Ici, nous marchons sur la tête en gaspillant l’eau potable. Cerise sur le gâteau : il ne reste plus que 2 % d’eau potable sur la planète entière. ATTENTION À UNE NOUVELLE MENACE Une nouvelle catégorie vient d’apparaître : les « nettoyeurs de puits busés ». Ils proposent de « nettoyer » votre puits en le vidant artificiellement à l’aspirateur. C’est la pire chose à faire : ils déstabilisent la base sur laquelle repose la première buse. Si la dernière buse bouge, même de quelques centimètres, votre puits est foutu à vie. Prenez garde, soyez prudents. Isidore Si l’on vous propose cela, posez toutes vos questions à l’Association LES AMIS DES PUITS. Déclaration officielle : https://www.neozone.org/societe/avez-vous-lobligation-de-declarer-votre-puits-si-vous-lutilisez-uniquement-pour-larrosage/
INFORMATION AUX HABITANTS DES COMMUNES
D’ANDERNOS, DE LANTON, DU TEMPLE, DE LÈGE-CAP-FERRET, DU PORGE, D’ARÈS, LESPARRE, SANGUINET, ARCACHON, ETC.
CAMPAGNE POUR LE SAUVETAGE ET LA PROTECTION DES EAUX SOUTERRAINES
💧 SAUVETAGE ET PROTECTION DES EAUX POTABLES ET DES PUITS CONFORMES À LA LOI
Dans le cadre de la sauvegarde des bonnes veines souterraines (issues du Massif Central et des Pyrénées), la Mairie d’Arès informe ses habitants :
➡️ Faites preuve de vigilance lors de la création de nouveaux forages.
Un forage est hasardeux lorsqu’il ne respecte ni les normes, ni la méthode traditionnelle, ni la législation en vigueur.
Il peut être autorisé par la Mairie jusqu’à dix mètres de profondeur pour de l’eau d’arrosage.
Mais gare à l’illusion qu’« il y a de l’eau partout » : creuser au hasard est une erreur grave.
👉 Un forage traverse la nappe phréatique, ce bouillon de culture instable.
👉 Un puits, lui, cherche une veine, qui traverse la nappe sans s’y mêler.
Le puits respecte la nature. Le forage mal fait la blesse.
FORAGES SAUVAGES = DANGER POUR TOUS
Ces forages clandestins ou improvisés :
- Mélangent les nappes
- Perturbent les puits sains
- Polluent les veines naturelles
- Sont strictement interdits par la loi
LES PUITS CONFORMES AUX LOIS : UN ART ANCESTRAL
Ils sont réalisés par des puisatiers expérimentés, précédés d’un sourcier, qui :
- repère précisément le passage de la veine
- mesure sa largeur
- fabrique la crépine à la main
- installe une pompe adaptée (aspirant seulement 2/3 du débit)
- garantit un taux de réussite de 98 % en eau saine
Cette eau peut être utilisée dans la maison, et même pour la piscine — après analyses.
UNE ASSOCIATION À VOTRE ÉCOUTE :
LES AMIS DES PUITS (7 000 adhérents)
📍 71, allée de la Pinède – 33740 Arès
📞 06 60 20 06 99 / 05 56 60 00 65
🌐 https://amis-des-puits.fr/
Nous vous informons gratuitement sur la création de puits traditionnels, dans le respect de la loi et des règles de l’art.
ATTENTION AUX FAUX EXPERTS ET AUX MALINS DE TOUTES SORTES !
Méfiez-vous des :
- foreurs clandestins
- voisins bricoleurs
- plombiers improvisés
- chasseurs de pigeons mal déguisés
Ces gens-là :
- forent n’importe où, à l’aveugle
- utilisent du matériel bricolé
- installent plusieurs crépines commerciales mal ajustées
- puisent une eau ferrugineuse, bactérienne, parfois inutilisable même pour l’arrosage
🎭 Ils changent souvent d’activité et disparaissent… mais laissent derrière eux un puits ruiné, et une veine détériorée.
Et quand il faudra tout refaire : 💸 vous paierez double.
LE PUISATIER TRADITIONNEL, L’AMI DE LA FAMILLE ET DE L’EAU SAINE
Il agit avec méthode, passion, respect :
- fabrique une crépine sur mesure
- veille à ne jamais pomper plus qu’il ne faut
- suit « son » puits comme un enfant
- reste un conseiller fidèle et présent
Il en reste peu… mais ils existent encore, et œuvrent pour recréer l’équilibre perdu dans nos sous-sols.
L’EAU POTABLE : UN BIEN COMMUN À PROTÉGER
- Moins de 1 % d’eau perdue, et nous avons soif.
- À 10 %, c’est le coma.
- À 12 %, la mort.
- 🌡️ Nous vivons à 70 % d’eau, mais en gaspillons sans compter.
- ❗ Sur Terre, il ne reste que 2 % d’eau potable.
C’est donc à nous tous de veiller à nos ressources.
NOUVELLE MENACE : LES « NETTOYEURS DE PUITS BUSÉS »
Certains proposent de « nettoyer » votre puits à l’aspirateur.
Mais attention :
👉 Ils déstabilisent la base.
👉 Si la dernière buse bouge, même d’un centimètre, votre puits est foutu à vie.
Avant toute décision, consultez toujours LES AMIS DES PUITS.
Déclaration officielle :
👉 Avez-vous l’obligation de déclarer votre puits si vous l’utilisez uniquement pour l’arrosage ?
Isidore,
Sourcier, puisatier, homme d’honneur et d’eau vive